samedi 23 octobre 2010

Le dédoublement du temps

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Pour écouter l'interview annoncée jeudi de jean Pierre Garnier Malet, cliquer sur le site de Radio Alligre dans la colonne de droite sur "Voix Contre Oreille" Emission du 22 octobre

ABSOLUMENT PASSIONANT!!!

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2 commentaires:

  1. Effectivement, ça donne à réfléchir et l'invité ose s'aventurer sur un terrain très sensible. Très bonne émission.
    Merci pour la découverte.

    Bon futur à toi!

    :)

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  2. Salut Maha. J'ai écouté l'émission ce week-end et c'est vrai, c'est captivant. Beaucoup de questions viennent néanmoins à l'esprit et/mais l'objectif réel de l'auteur de cette théorie suscite, en tout cas en ce qui me concerne, un certain malaise interrogatif. Parce que bon, l'aspect scientifique est quand même déjà un élément tout à fait révolutionnaire, qui aurait pu occuper l'auteur à temps plein. Or il a voulu lui donner une finalité (= une application) métaphysique et spirituelle (ce dont il se défend de tps en tps dans l'interview mais sans être convaincant). Il explique dans l'émission qu'il est urgent et important de faire savoir au plus grand nombre que les pensées sont importantes mais il restreint le message par la marchandisation de cette information. Il faut bien vivre, bien sûr, mais la vente de ses bouquins devrait lui suffire, ce me semble. Enfin, c'est juste un avis personnel. Il parle de bien et de mal ("plaisir" et "déplaisir" sont les mots qu'il utilise, pour atténuer la portée moralisante du message, qui pourrait le faire paraître moins novateur), il explique qu'on peut être en accord avec "le juste" (ma traduction perso de son "amoros), en étant dans la détestation mais qu'on peut ne pas l'être tout en étant dans l'amour. Hem... . J'aime bien aussi l'exemple percutant qu'il donne pour étayer son exemple de "retour de manivelle inexorable", selon lequel on récolte tôt ou tard ce que l'on sème: Les violences des manifestants anti- réforme des retraites. Très mauvais exemple (même si discutable), qui relativise quand même salement le caractère supposé transcendant du discours. Si le medium est le message, c'est mort. Malgré tout, il y a assez de bon sens et de vérité apparente pour qu'on garde l'envie d'en savoir plus et d'aller au delà de la prestation d'un locuteur qui en ce qui me concerne m'a laissé un certain arrière-goût de duplicité. En y réfléchissant,je crois que c'est tant mieux: la force de la théorie suffit à vouloir chercher à en savoir davantage, sans pour autant permettre à son "découvreur" d'inciter à un enrôlement inconditionnel et aveugle, comme cela arrive trop souvent. On garde son esprit critique. Prochaine étape, les livres. Merci pour le lien de l'interview!

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