jeudi 27 mars 2008

Au début était le mot ...

Quel beau titre pour un premier blog... Inspirée par l'actuelle propagande médiatique anti-chinoise, j'ai acheté un CD intitulé "Himalaya Méditation". Sur la couverture figure l'avertissement suivant (en allemand): "Ce programme musical est sous controle scientifique permanent du centre international de thérapie musicale".

Il parait (je ne peux pas le prouver) que Mozart était franc-maçon. Il aurait été assassiné par ses petits copains parce qu'il avait dévoilé quelques uns de leurs secrets au peuple, à travers sa musique.

Quelques chercheurs se sont penchés sur la question, et ont découvert effectivement les vertues fantastiques de certains morceaux de musique classique ... à condition de les jouer plus lentement. Je me rappelle par exemple d'une augmentation d'un facteur 50 de la capacité de mémoire sous l'effet d'une certaine oeuvre de Mozart.

Ils sont encore trop peu nombreux, ceux qui jouent aujourd hui cette musique à la vitesse correcte (deux fois plus lente que la vitesse usuelle).
Citons par exemple l'allemand Kliemt, tempoguisto.de et l'organisation suisse "Respiro" respiro.ch. En selectionnant "CDs" et "Hörproben",vous trouverez quelques extraits de titres classiques joués à la vitesse originelle. Un régal.

Respiro ... la plupart des morceaux classique m'éssouflent. Ils sont devenus stressants, sous l'effet de cette accélération démentielle. Il est temps de freiner, pas seulement en ce qui concerne la musique...

Au début était le mot .... le son à l'origine de la création, de la matière. C'est ce que des scientifiques russes expérimentent depuis les années 90. Les sons - et les ondes scalaires - ont la faculté sous certaines conditions de créer, et de modifier la matière.

Entre temps, les vertues thérapeutiques de certaines fréquences, et donc de la musique, ne sont plus à démontrer. Les sons que nous écoutons - et produisons - peuvent améliorer ou détruire notre santé et notre bien-etre.

Le japonais Dr. Asaru Emoto a visualisé l'effet structurant ou destructif de l'energie transportée par mots et musiques en photographiant des christaux d'eau informée. Mais c'est un autre sujet ...

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